Sélectionner une page

Boutique

Affichage de 10–18 sur 65 résultats

  • La belle Aventure

    19,00

    La belle Aventure, c’est celle d’André Fabre, frère de l’écrivain Lucien Fabre, prix Goncourt 1923. Vers 1900 et jusqu’à la veille de la guerre de Quatorze, c’est le récit d’une enfance à Pampelonne, celui de son sévère internat au lycée d’Albi et de son aventure américaine.

  • Cansos planhs e sirventes

    12,00

    Né à Castres en 1924, Gaston Puel vécut dans son pays natal, l’Albigeois et le Castrais, qu’il dénommait avec fierté et délectation « le comté de Toulouse ». Il fut libraire, et éditeur des plus grands : Tzara, René Nelli, Joë Bousquet, René Char, Guillevic, Michel Butor, etc.

  • La Retirada et l’Exil

    12,00

    Espagne, 1936 : le soulèvement des généraux parjures, puis la guerre civile. 1939, pour les républicains, le crève-cœur de la défaite. [...] La singularité d’une histoire personnelle, reflet de milliers d’autres.

  • Portulan

    19,00

    Portulan I, aquò’s l’encontre apassionat d’un Occidental amb l’Autre, l’Afganistan rufe, amb sa sensualitat, lo rafinament despolhat de sos pòbles e de sos desèrts. Portulan II, dempuèi la misèria e los enebriaments de las Índias, seguís los camins dels Imalaias, cap a Ladakh, lo Tibet occidentau.

  • En Occitan

    25,00

    En 1974, Michel Roquebert, journaliste à La Dépêche du Midi, et qui vient de publier le premier tome de son Épopée cathare, demande à Yves Rouquette d’assurer la présentation régulière des nouvelles parutions en occitan ou sur la question occitane [...]

  • En Algérie sur les pas de Jean Boudou

    12,50

    Jean Boudou, le plus emblématique des écrivains occitans contemporains, passa ser dernières années comme professeur de sciences agricoles en Algérie et y mourut (1968-1975).

  • Rue de l’Aléa

    14,50

    On y trouve de tout : une bibliothèque, une boulangerie, une boucherie et un bar. et même un local à vendre. Vient s’y installer une multinationale distributrice de cinémind : un cinéma où l’on met sur la tête des spectateurs des électrodes qui projettent leurs pensées sur l’écran…

  • L’Arbre de mèl

    12,00

    Tous les grands amoureux, mozarabes et troubadours, mystiques d’Orient et d’Occident, n’ont-ils pas évoqué l’amour comme un feu dévorant ? L’amour ici encore, en tradition vivante, danse comme une flamme. Mais c’est du four d’un poète alchimiste qu’il lance ses incendies.

  • Los tres gendres del paure òme

    13,00

    « L’istòria es de las pus polidas, comola d’images e de personatges magics… Aquò’s règla quasiment generala que los contes se devon acabar dins lo bonur del protagonista principal. Amb aqueste, non : es dins lo big sleep de la mòrt que tot se clava… »