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  • Ségaline

    18,00

    Avec un talent de conteuse, Lygie Bonnafous-Valière, nous livre un témoignage vécu et authentique de la vie d’autrefois dans le Ségala, dans un dialogue où se mêlent et se répondent, aussi fraîches les unes et les autres, les voix de quatre générations.

  • Dernières lueurs souterraines

    25,00

    Par un ancien mineur de Carmaux, tous les métiers de la mine tels qu’il les a pratiqués (piqueur, foudroyeur, sondeur…). Des mineurs-paysans du Ségala aux immigrés polonais, espagnols, italiens, slaves ou maghrébin, un bel hommage à tous les camarades dont il a partagé le travail et les luttes [...]

  • Lo Salvatjon / L’Innocent

    12,00

    « Victor », « l’enfant sauvage de l’Aveyron » : Leopòld Durand a caminat sus sas pesadas e li a tornada la paraula en òc. Tant el coma Pierre Calmette, en francés, amb lor coneissença del païs, dels òmes del temps e de uèi, espolson lo mit.

  • Lo cabrièr de las paraulas

    12,00

    El es ensenhaire, ela infirmièra. An tres dròlles e se meton a abalir de cabras, de cabras que ne fan parlar mai d’un dins lo vilatge. Fantasiá, causida o biais de se plegar al voler del lòc ?

  • Louis Fieu

    11,00

    Louis Fieu (1879-1973), député du Tarn et maire de Carmaux, demeura à son poste pendant l’Occupation tout en aidant la Résistance. Accusé de pétainisme et exclu du parti socialiste à la Libération, les documents apportés par l’auteur rétablissent la vérité.

  • L’église St-Eugène de Rosières

    13,50

    Sous la commune, il y a la paroisse et, au centre, l’église. Jusqu’aux fresques de Nicolaï Greschny, Jacques Castagné fait l’archéologie de cet espace qui rythma la vie de générations et de générations avec toute sa science de la symbolique de l’art sacré.

  • La Coa de la Cabra

    13,50

    De vèrs 1940, un enfant de vinhairons dins l’univèrs claus d’un vilatge. La familha, la natura, lo trabalh, vistes pels uèlhs d’un mainatge. Lo jornal pòrta los ressons de la guèrra. La patria, sola se’n tracha l’escòla…

  • Les Juifs ont-ils du coeur ?

    20,00

    « Comment rendre les juifs plus utiles et plus heureux en France ? » se demandait l’abbé Grégoire. L’oeuvre de libération des révolutionnaires français et de Napoléon se fonde paradoxalement sur les plus anciens préjugés antijudaïques.

  • L’Abbé Barthe, curé d’Escoussens

    9,50

    Pierre Joseph Marie Barthe, curé d’Escoussens pendant un demi-siècle et forte personnalité, y vit naître, grandir et mourir plusieurs générations. Ses mots et ses incartades, racontés de manière humoristique, étaient dignes de rester dans toutes les mémoires.