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  • Le Dieu de Jaurès

    Le Dieu de Jaurès

    24,00

    « Je ne suis pas de ceux que le mot Dieu effraie. J’ai, il y a vingt ans, écrit sur la nature et Dieu et sur leurs rapports, et sur le sens religieux du monde et de la vie, un livre dont je ne désavoue pas une ligne... », proclamait Jean Jaurès à la tribune de la Chambre en janvier 1910.

  • Sosc / Rêve

    16,00

    « Soscarem, dins la nuèit, a de sorgas perdudas… Nos rêverons, dans le soir, à des sources perdues…» Ces sources perdues ce sont celles des commencements : de l’amour, du printemps, de l’eau vive et des oiseaux, des roses et des feux de joie, des chants des troubadours, de la petite fille, du village et de son ciel…

  • La belle Aventure

    19,00

    La belle Aventure, c’est celle d’André Fabre, frère de l’écrivain Lucien Fabre, prix Goncourt 1923. Vers 1900 et jusqu’à la veille de la guerre de Quatorze, c’est le récit d’une enfance à Pampelonne, celui de son sévère internat au lycée d’Albi et de son aventure américaine.

  • La Retirada et l’Exil

    12,00

    Espagne, 1936 : le soulèvement des généraux parjures, puis la guerre civile. 1939, pour les républicains, le crève-cœur de la défaite. [...] La singularité d’une histoire personnelle, reflet de milliers d’autres.

  • Ségaline

    18,00

    Avec un talent de conteuse, Lygie Bonnafous-Valière, nous livre un témoignage vécu et authentique de la vie d’autrefois dans le Ségala, dans un dialogue où se mêlent et se répondent, aussi fraîches les unes et les autres, les voix de quatre générations.

  • Dernières lueurs souterraines

    25,00

    Par un ancien mineur de Carmaux, tous les métiers de la mine tels qu’il les a pratiqués (piqueur, foudroyeur, sondeur…). Des mineurs-paysans du Ségala aux immigrés polonais, espagnols, italiens, slaves ou maghrébin, un bel hommage à tous les camarades dont il a partagé le travail et les luttes [...]

  • Lo Salvatjon / L’Innocent

    12,00

    « Victor », « l’enfant sauvage de l’Aveyron » : Leopòld Durand a caminat sus sas pesadas e li a tornada la paraula en òc. Tant el coma Pierre Calmette, en francés, amb lor coneissença del païs, dels òmes del temps e de uèi, espolson lo mit.

  • Lo cabrièr de las paraulas

    12,00

    El es ensenhaire, ela infirmièra. An tres dròlles e se meton a abalir de cabras, de cabras que ne fan parlar mai d’un dins lo vilatge. Fantasiá, causida o biais de se plegar al voler del lòc ?

  • La Coa de la Cabra

    13,50

    De vèrs 1940, un enfant de vinhairons dins l’univèrs claus d’un vilatge. La familha, la natura, lo trabalh, vistes pels uèlhs d’un mainatge. Lo jornal pòrta los ressons de la guèrra. La patria, sola se’n tracha l’escòla…